André FRANQUIN : La série de Tintin est proche de la réalité, se sert de documents authentiques et de paysages existants. N’avez-vous pas envie de faire une autre série où vous vous accorderez plus de liberté avec la réalité, où vous vous permettrez plus de fantaisie?
HERGÉ : Non. Ce n’est pas mon genre. J’ai besoin de me raconter des histoires auxquelles je puisse croire. Mais ce sont des histoires vraies
Extrait d’un article de Véronique Laroche-Signorile paru dans Le Figaro Littéraire du 10-11 mai 1975.
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