NOUVEAUTÉ ! POUR TOUS LES FANS DE LA SYLDAVIE : LE SCEPTRE D’OTTOKAR

La collection des « Icônes » grandit. Le nouveau venu : Le sceptre et pas n’importe quel sceptre: Le Sceptre d’Ottokar. Cette fois, c’est le symbole royal qui est mis à l’honneur: Le symbole royal de la Syldavie. Il se révèle un bien précieux pour le peuple syldave et à ce titre il est l’objet de toutes les convoitises et de tous les complots de forces étrangères., à un point tel que la perte de cet objet suffirait à mettre en péril la royauté.

Il le sera également pour vous tant le soin apporté à sa réalisation est méticuleux et le choix des matériaux judicieux : Sa finition, sa matière et son rapport poids/volume donnent le sentiment d’avoir en main une véritable pièce d’orfèvrerie. Il est posé sur un socle en résine. Un support transparent permet de le présenter debout et d’assurer sa stabilité. La couleur du socle rappelle le velours rouge sur lequel il repose dans la salle du trésor du Château Kropow. Bref, autant de détails utiles pour une présentation « en majesté » du sceptre d’Ottokar.

Finition : Brillant – Matière : Métal – Certificat : oui – Edition numérotée : Non

L x l x h (cm) : 8.50 x 8.50 x 23.00 – Poids : 300g

En effet, un événement a eu une importance singulière dans l’histoire du pays : au XIVème siècle, le roi Ottokar IV a assommé à l’aide de son sceptre un baron félon qui voulait le lui ravir. Le sceptre a acquis ainsi une haute valeur symbolique. Pour garder leur trône, le roi et ses descendants doivent depuis ce jour le présenter à la foule lors de la fête nationale, la Saint-Wladimir.

Objet de convoitises, il est donc conservé sous bonne garde dans une forteresse, à la manière de la Tour de Londres qui abrite les joyaux de la Couronne Britannique. Des conspirateurs ont fomenté un coup d’état et mis sur pied un plan machiavélique pour dérober le sceptre, cela va déclencher une série d’événements et de courses-poursuites trépidantes auxquelles Tintin prendra part. Bref, toute l’aventure est articulée autour de cet objet.

Pour la mise au point du modèle, les créateurs de l’objet ont été particulièrement attentifs à la matière utilisée. Leur choix s’est porté sur le zinc avec dorure par galvanoplastie, un procédé qui consiste à plonger l’objet dans un bain d’électrolyse afin de le revêtir d’une couche métallique.

Le fini de surface est satiné pour adoucir les reflets et évoquer la patine d’un vieil or (n’oublions pas que le sceptre a un âge vénérable).

Le modèle mesure 232 mm pour un poids de 111 g.

Sa finition, sa matière et son rapport poids/volume donnent le sentiment d’avoir en main une véritable pièce d’orfèvrerie. Il est posé sur un socle en résine. Un support transparent permet de le présenter debout et d’assurer sa stabilité. La couleur du socle rappelle le velours rouge sur lequel il repose dans la salle du trésor du Château Kropow. Bref, autant de détails utiles pour une présentation « en majesté » du sceptre d’Ottokar.

C’est la première fois qu’une version de cette taille et avec cette qualité de matière est proposée au public. Un objet “frappant” de vérité car, pour reprendre la devise du Royaume du Pélican Noir, « Qui s’y frotte s’y pique”.

Signalons que ans la version originelle de 1939 parue dans Le Petit Vingtième, l’ornement est simplement une tête de pélican couronnée.

Hergé donnera au sceptre sa forme définitive lors de la mise au format album. Le pélican ne déploiera donc ses ailes qu’à partir de 1947.

Pour le commander, cliquez AU CENTRE de l’image ci-dessous :

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2 commentaires


  1. En fin de cet intéressant article, il est mentionné ce qui suit :
    C’est la première fois qu’une version de cette taille et avec cette qualité de matière est proposée au public. Un objet “frappant” de vérité car, pour reprendre la devise du Royaume du Pélican Noir, « Qui s’y frotte s’y pique”.

    Je me permets de contredire l’auteur, en faisant référence à mon livre « Eïh ben ek, Eïh blaaiv ek : bruxellois – syldave – arumbaya », qui a eu le privilège d’être référencé dans ce blog : https://tintinomania.com/tintin-le-bruxellois-chez-tintin.

    En page 137 de mon ouvrage, on peut lire :

    Il n’en est rien, comme l’a démontré Pierre Rubens dans une correspondance adressée à Jacques Hiron, en remarque à ses
    « Carnets de Syldavie » (p. 19) :
    Dans la brochure que lit Tintin dans l’avion, il est écrit exactement ce qui suit : « Eih bennek, eih blâvek ! », ce qui signifie à peu près : « Qui s’y frotte s’y pique. » Puis, se tournant vers les assistants épouvantés, il (le Roi) dit : « Honni soit qui mal y pense ! ». Donc c’est « Qui s’y frotte s’y pique » qui est la fausse traduction qui n’est là que pour leurrer et « Honni soit qui mal y pense » est simplement la suite des paroles du Roi et non la traduction de la devise.

    Jean-Jacques DE GHEYNDT

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  2. La devise de la Syldavie ; « Eih bennej, eih blavek » signifie : « J’y suis, j’y reste » et non PAS « Qui s’y frotte, s’y pique ». Erreur souvent commise par les francophones ‘non-bruxellois’ qui ne comprennent pas le ‘syldave’ ! Hergé a écrit : « …ce qui signifie à peu près : »Qui s’y frotte s’y pique. » S’il s’était agi d’une traduction française du syldave, Hergé aurait écrit : « ce qui se traduit par » ou « ce qui signifie » tout court. Le « à peu près » montre donc bien qu’il s’agit d’une interprétation libre (qui n’est là que pour leurrer ceux qui ne comprennent pas le bruxellois). Car tout bruxellois (et Hergé en était incontestablement un) qui se respecte, a immédiatement compris: ‘Eih bennek, eih blavek’ qui est la transcription phonétique en bruxellois pour ‘Hier ben ik, hier blijf ik’ (en bon néérlandais) et qui se traduit littéralement par « Ici suis je, ici reste je », autrement dit : ‘J’y suis, j’y reste’ (en bon français).
    Voir à ce sujet l’excellent livre de J.-J. De Gheyndt présenté le 29/11/18 dans TINTINOMANIA.

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