Je vous invite à découvrir cette passionnante étude sur le fantastique site tintinophile de notre ami Jean-Marc Bouillet.
En parcourant l’ensemble des aventures de Tintin vous y découvrirez les mille et une façons que Hergé a eu de se servir des fenêtres, ces petites ouvertures sur le monde, pour nous surprendre, nous intriguer et nous intéresser.
Les fenêtres sont tour à tour un moyen d’évasion, d’espionnage, un danger, un spectacle, une source de gag, un lieu de contemplation, d’action, ou un pur régal esthétique.
Nul doute qu’Hergé était passé maître dans l’art de mettre les histoires en cases. C’était aussi un jeu pour lui de mettre en scène les fenêtres, ces interfaces entre le dedans et le dehors des cases, sources de luminosité, de visibilité et de communication.
Et comme tous les grands artistes, Hergé nous fait prendre plaisir à entrer dans son jeu…

Ci-dessous un autre article de Dominique Mariq, sur le même sujet paru dans la revue numéro 11 des Amis Du Musée Hergé

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