Le train a toujours été un compagnon de route fidèle des aventures de Tintin. L’amour du dessinateur pour ce moyen de transport remonte à ses années de scoutisme lorsque le chemin de fer permettait au petit Bruxellois de se rendre dans des camps situés dans les (alors) lointaines Ardennes.
Le train apparaît dès la première case de la toute première aventure de Tintin, Tintin au pays des Soviets, en 1929. Hergé fait partir son héros vers Berlin et l’URSS à bord d’un train de la SNCB. Et dans la dernière case de ce même album, Tintin est accueilli par la foule en gare de Bruxelles-Nord.
Par la suite, le train revint régulièrement au travers des albums. On se souvient de la locomotive poussive que la voiture du petit reporter faisait dérailler dans Tintin au Congo. Plus tard, c’est en train que Tintin découvre l’Amérique. Dans Le Lotus Bleu, un attentat coupe la ligne ferroviaire au beau milieu de la Chine. Dans L’Île noire, Tintin se lance dans une course effrénée digne d’Indiana Jones sur les toits des wagons. Et comment oublier le célèbre épisode du wagon qui se détache du convoi dans la cordillère des Andes (Le Temple du Soleil ) ? Enfin, c’est en train que Tintin arrive à la gare de Moulinsart, inspirée de celle de Sart-Moulin, en Brabant wallon.
Pour votre plaisir : les 4 premières chroniques ferroviaires et tintinesques de notre ami Pierre Philipon
A SUIVRE…
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